vendredi 7 novembre 2014

Assise, massée ou en marche

Les jours passent et je vais de plus en plus les vivre assise... mon dos ne porte plus, ni ma carcasse, ni mes envies de liberté, ni mes errances de l'esprit. Enfin des fois, souvent, trop souvent.
Je commence un temps plus assoupie, après les agitations des vacances.


Je vais pouvoir finir ma lecture (parce que j'aime lire seule, parce que les nuits sont encore endormies -ouf-, parce que les déambulations sont tout de même nombreuses (par obligation), parce que le mal de dos assomme).


Je ne m'offre que des arrêts rapides, pas de thé, mais des infusions de menthe avant qu'elle ne s'oxyde plus. Je rêve de "thé des bois" mais pas en boisson, en massage.
Quelques petits bonheurs avec une part de milla à la citrouille (mon gâteau d'anniversaire, 3/4 mangé par mois, eh oui les autres n'aiment pas vraiment la citrouille), des senteurs de lys.

Un ou deux arrêts éducatifs, pour préparer une activité de zoologie au lutin, une autre sur la compréhension du temps, une autre sur les arbres, une autre sur la mythologie ...

Quelques séries mises pour les moments de crise de douleur:
- séries de fiction avec, entre autre, cette magnifique musique, The Handsome family: "Far from any road" (et magnifique première saison de "True Dectective"),
- série d'histoire avec les émissions "L'ombre d'un doute"(spécialement après retour du chiropracteur mais je les ai toutes vues...),


- série culturelle à la radio avec Augustin Trapenard, "Boomerang", qui me laisse avec un énorme sourire aux lèvres et que j'écoute en podcast même dans la rue. Merci, merci, merci.

Bien-sûr il m'arrive de remettre la vidéo, une fois, deux fois, je m'endors d'épuisement... toujours.

Des humeurs qui m'emportent sur des massages particuliers, comme une envie, une précipitation mal assumée:


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